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Iran vendredi a exprimé son mécontentement sur une décision prise par un tribunal argentin déclarant un accord avec Téhéran pour sonder le bombardement d'un centre juif de Buenos Aires en 1994 Marzieh Afkham, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, a déclaré dans un communiqué cité par l'AFP. Au début de 2013, Argentinas congrès a approuvé, à la demande de la branche exécutive, un accord avec Téhéran pour former une commission de vérité pour enquêter sur l'attentat. Le procureur général dans l'affaire, Alberto Nisman, avait dit l'accord constituait une Argentine accuse le Hezbollah, le mouvement chiite libanais, a effectué l'attaque sous les ordres de l'Iran, qui nie Téhéran. Depuis 2006, les tribunaux argentins ont demandé l'extradition de huit Iraniens, y compris l'ancien président Akbar Hashemi Rafsanjani, ancien ministre de la Défense Ahmad Vahidi et Mohsen Rabbani, Irans ancien attaché culturel à Buenos Aires. L'accord entre les deux pays a été fortement rejetée par les organisations représentant les 300.000 membres de la communauté juive Argentinas, le plus grand en Amérique latine. Le président iranien Hassan Rouhani a été reconnu coupable d'avoir fait partie du comité du gouvernement iranien spécial tracé le bombardement 1994, selon un acte d'accusation par le procureur du gouvernement argentin enquêter sur l'affaire. Le bombardement AMIA est considérée comme la plus meurtrière attaque terroriste dans l'histoire Argentinas, tuant 85 personnes et en blessant des centaines d'autres. (Arutz Shevas North American Desk vous tenir à jour jusqu'à ce que le début du Shabbat à New York. Le temps affiché automatiquement sur tous les articles Arutz Sheva, cependant, est le temps d'Israël.)
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